mardi 22 juin 2010

Le guépard de Shangri-la



Chine

Le jeune Geza est le coureur le plus rapide de sa génération.

Les médecins découvrent que sa jeune sœur , malade, doit être opérée du cœur, Or, l'opération coûte cher et la famille de Geza est pauvre,L'adolescent n'a plus qu'un espoir : participer à une grande course organisée à travers le Tibet, et dont le gagnant se verra remettre une très grosse somme d'argent, Devenu le héros de tout un pays, Geza va vivre une incroyable aventure, pleine de joie et de suspense, d'émotions et de rencontres.
Vrai que l’aventure est incroyable, mais pas où l’on devrait l’attendre. 
Vrai que la classification du film est bonne mais le drame n’est pas où l’on devrait l’attendre.
Remanions le titre : Comment détruire l’identité d’un peuple, mode d’emploi.

Revoyons le synopsis :
Le jeune Géza traverse une partie du Tibet en courant pour participer à un marathon en Chine pour sauvé sa sœur dont l’opération coute très cher, Le parti est bon: Il prend le coût de l’opération en charge, mais pas les médicaments postopératoire et comme par hasard le montant du 1° prix du marathon correspond à la facture.
On verra tour à tour :
 Notre héros rêvant de Hamburgers, rêve qui sera consacré à la grande ville, il aura l’illumination sous l’enseigne Mac Do. 
Après bien des tribulations il participe à la course où après une remontée fantastique, 1° à quelques  mètres de l’arrivée le directeur du  Service des sports de la course donnera l’ordre aux policiers en faction de le ceinturer, laisser gagner un Tibétain çà fait un peu tâche pour le Comité central. 
Mais une télé chinoise locale bravant les foudres éventuelles d’un laminage en règle de la part du CC, coupera la retransmission de remise des prix pour raconter sur écran géant l’histoire de ce valeureux garçon,
Bien sur le gentil peuple Chinois ému par ce cas donnera 6 fois le montant dont Géza avait besoin et un grand feu d’artifice sera tiré. 
Les villageois laisserons éclater leur joie devant le tube cathodique et serons éternellement reconnaissants au grand frére (pas Geza, l’autre)

A part çà de bien belles images et des acteurs touchants.